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Les paysages sont de plus en plus sauvages. Nous cheminons au milieu des troupeaux de vaches, de brebis, de pottoks. Tout est bien vert. En contre bas, on aperçoit des zones de bergers avec leurs abris, les "cayolars". Mais bientot, le vent commence à se lever. Jusqu'à Orisson, on ne l'avait pas du tout senti, mais plus on monte et plus il souffle ! Il souffle tellement fort sur le côté gauche que parfois nous sommes entraînés vers le ravin ! Attention les chapeaux !


Martine Rigal




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